Détail d'une collection
Collection Folio
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Documents disponibles dans la collection (357)
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«L'or de la République», c'est le trésor du gouvernement républicain espagnol que la Résistance croit caché en France. Sous l'impulsion d'une jeune femme, Etty, des résistants français et des réfugiés espagnols forment un maquis qui prend le nom[...]texte imprimé
Julian Barnes, Auteur ; Jean-Pierre Aoustin, Traducteur | [Paris] : Gallimard | Collection Folio | 1999Julian Barnes est sans conteste le plus francophile des auteurs britanniques contemporains. L'auteur du célèbre Perroquet de Flaubert en fournit une fois de plus la preuve dans ce recueil de dix nouvelles dont les héros sont des Anglais qui vive[...]texte imprimé
Paludes, ou la semaine au jour le jour d'un littérateur en mal de voyage. Dans le microcosme étrangement fidèle que nous restitue le récit d'André Gide, domine la figure de Tityre, berger de tous les temps, habitant des marécages où fourmille un[...]texte imprimé
Rappelle-toi Barbara Il pleuvait sans cesse sur Brest ce jour-là Et tu marchais souriante Épanouie ravie ruisselante Sous la pluie Rappelle-toi Barbara...texte imprimé
Il y avait à Montmartre, au troisième étage du 75bis de la rue d'Orchampt, un excellent homme nommé Dutilleul qui possédait le don singulier de passer à travers les murs sans en être incommodé. Il portait un binocle, une petite barbiche noire et[...]texte imprimé
Issus de la plus ancienne noblesse, les Saint-Damien ont décidé que la politique ne les intéressait pas. Dans leur belle demeure de Montpellier, ils traversent ainsi les guerres et les convulsions de notre temps avec une parfaite fraîcheur d'âme[...]texte imprimé
Philip Roth, Auteur ; Mirèse Akar, Traducteur ; Maurice Rambaud, Traducteur | [Paris] : Gallimard | Collection Folio | 1994Ce récit, écrit à la première personne, raconte la lente maladie du père de l'auteur âgé de quatre-vingt-six ans, sa lutte obstinée pour vaincre la tumeur au cerveau qui finira par l'emporter. Dans ce combat contre le drame de la vieillesse, le [...]texte imprimé
Paulina Pandolfini. Née à Milan le 14 juin 1849. Fille cadette de Mario Giuseppe Pandolfini et de Lucia Carolina son épouse. Célibataire sans profession. A séjourné comme novice dans le couvent de la Visitation à Mantoue de 1877 à 1879. A tué [...]texte imprimé
" J'ai rendez-vous avec mon assassin. C'est mon père et il s'appelle Michel. J'aurai mis près de quarante ans à le retrouver. Une fois encore, je reprends la route. Je ne vais pas bien loin, de Chevaleret à Etoile. Une vingtaine de stations. Je [...]texte imprimé
Le malaise des cadres, c'est pas rien! Vous avez femme, enfants, bagnole, télé, et voilà que vous vous sauvez. Tout ça parce que deux rigolos essaient de vous flinguer. Et vous savez même pas pourquoi. Un jour, camarade, il faudra quand même com[...]texte imprimé
«Nous vivons désormais dans le "présent perpétuel" prédit par Debord. Oh, sinistre prestige de la table rase, conjugué à la tyrannie du spectacle… De plus en plus souvent, les romans qui agitent l'opinion donnent à pressentir une littérature san[...]texte imprimé
Isaac Bashevis-Singer, Auteur ; Marie-Pierre Bay, Traducteur | [Paris] : Gallimard | Collection Folio | 1993«Ce soir-là, il plut et le cocher dut remonter la capote du droshky. Max prit Tsirele dans ses bras et l'embrassa. Il la sentait trembler contre lui comme un petit oiseau. Le souffle court, elle le repoussa, le visage cramoisi. Cela faisait long[...]texte imprimé
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J'ai ainsi vécu seul, sans personne avec qui parler véritablement, jusqu'à une panne dans le désert du Sahara, il y a six ans. Quelque chose s'était cassé dans mon moteur. Et comme je n'avais avec moi ni mécanicien, ni passagers, je me préparai[...]texte imprimé
"Celle qu'on aime, on la voit s'avancer toute nue. Elle est dans une robe claire, semblable à celles qui fleurissaient autrefois le dimanche sous le porche des églises, sur le parquet des bals. Et pourtant elle est nue - comme une étoile au poin[...]texte imprimé
" Rose et Madeleine avaient hâte de rentrer et de s'asseoir devant la cheminée, au pied du fauteuil de leur père...Il aimait surtout parler du Tonkin et du chemin de fer qu'il y avait construit, jusqu'aux confins de la Chine. Ni Rose ni Madelein[...]texte imprimé
A propos de l'amour, il disait : " Il y a un signe infaillible auquel on reconnaît qu'on aime quel-qu'un d'amour, c'est quand son visage vous inspire plus de désir physique qu'aucune autre partie de son corps. " S'il avait eu une tombe, voici l[...]texte imprimé
Nous sommes fin mai, en pleine retraite, en plein désastre. On sacrifie les équipages comme on jetterait des verres d'eau dans un incendie de forêt. Comment pèserait-on les risques quand tout s'écroule ?... En trois semaines nous avons perdu di[...]texte imprimé
Pierre Mac Orlan, Auteur ; Francis Lacassin, Préfacier, etc. | [Paris] : Gallimard | Collection Folio | 1986Fanny Hill est une coquine. Elle naquit en 1790 dans un petit village de la Somme. A dix ans, ses parents étant morts de la petite vérole, elle rencontre un vagabond qui l'initie à des procédés qui ne sont pas de son âge. Bientôt, nous la retro[...]texte imprimé
"Enfant, quand je m'efforçais de m'exprimer dans un langage châtié, j'avais l'impression de me jeter dans le vide. Une de mes frayeurs imaginaires, avoir un père instituteur qui m'aurait obligée à bien parler sans arrêt en détachant les mots. On[...]texte imprimé
Au mois de juin 1942, un officier allemand s'avance vers un jeune homme et lui dit : "Pardon, monsieur, où se trouve la place de l'Etoile ?" Le jeune homme désigne le côté gauche de sa poitrine.texte imprimé
"Voici les Guimier. Un couple charmant. Gisèle est assise auprès d'Alain. Son petit nez rose est ravissant. Ses jolis yeux couleur de pervenche brillent. Alain a un bras passé autour de ses épaules. Ses traits fins expriment la droiture, la bont[...]texte imprimé
Dans ce recueil on découvre un Prévert conteur, poète, dramaturge, pamphlétaire, lyrique, réaliste et surréaliste. «Vous je ne vous regarde pas ma vie non plus ne vous regarde pas J’aime ce que j’aime et cela seul me regarde et me voit J’[...]texte imprimé
La porte était close. Le verrou n'opposait toutefois qu'une résistance assez faible et que d'un coup d'épaule j'allais briser... A cet instant j'entendis un bruit de pas ; je me dissimulai dans le retrait du mur. Je ne pus voir qui sortait du j[...]texte imprimé
Zhao le soldat et Ayamei la révoltée courent dans les rues sombres de Pékin. La place de la Paix céleste - Tian an men - est couverte du sang des étudiants. Du sang des enfants de la Chine moderne, élevés dans l'idéologie étouffante du régime m[...]