Résumé :
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Où commence, où s'achève l'œuvre de Marguerite Duras ? Quelle matière étreint-elle ? De quelle nature, romanesque, théâtrale, poétique, filmique, est-elle faite ?
Il faut tenter de comprendre, de traverser cette parole qui est toujours au bord de se perdre, cette vois qui suffoque, qui soupire, qui souffre, qui dit la lumière du jour, un instant entrevue, et clame néanmoins son désir d'infini, né de cette douleur de la perte irrémédiable du bonheur, car " seul ce qui est perdu est éternel ", ce seul-là qu'elle cherche à rejoindre.
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